EN SAVOIR PLUSSUR LA BRANCHE METALLURGIE

LES METIERS

Les industries de la métallurgie rassemblent une très grande diversité de métiers, à tous niveaux de qualification, de l’opérateur à l’ingénieur. Il est d’usage de dire que ” La métallurgie, c’est plus de 1 000 métiers  ! “.

Ces métiers s’exercent sur l’ensemble de la chaîne de valeur, de la conception à la commercialisation du bien ou du produit fini. Pour illustrer, en voici quelques-uns : soudeur, chaudronnier, tourneur-fraiseur, technicien de maintenance, monteur-câbleur, peintre industriel, ajusteur-monteur, conducteur de ligne de production, ingénieur R&D, dessinateur industriel, intégrateur robotique, technicien QHSE, opérateur de production, ingénieur en construction navale, mouliste, opérateur en traitement de surfaces, technicien en automatismes, … Sans compter les fonctions supports : comptabilité, administration, gestion des ressources humaines, communication, logistique, … présentes dans les entreprises industrielles.

L’EMPLOI DES FEMMES

Les femmes ont leur place dans l’industrie !Sur les postes d’ingénieures, de cadres, de techniciennes, d’opératrices de production, … Elles occupent en moyenne 23% des emplois dans la métallurgie.

L’éventail des professions exercées par les femmes s’est élargi au fil des années. Des femmes sont Chefs d’entreprises, Cadres administratifs, Ingénieures de production, Techniciennes en R&D, Techniciennes en contrôle qualité, Employées administratives, Opératrices en électronique, Opératrices en mécanique de précision, … dans l’industrie. On trouve des femmes sur quasiment tous les métiers.

LES BESOINS EN EMPLOI

En 2023, les entreprises industrielles bretonnes ont prévu plus de 20 000 recrutements, confortant l’industrie comme grand secteur recruteur, rassemblant 12% du total des recrutements dans la région.

L’industrie bretonne recrute dans tous ses métiers techniques. Cependant, trouver un chaudronnier, un technicien de maintenance ou un usineur est devenu aujourd’hui mission quasiment impossible. Et ce constat s’applique à un panel de métiers industriels de plus en plus large. Plus de 7 recrutements sur 10 se révèlent être difficiles à réaliser pour les entreprises. En cause notamment, un taux de chômage bas en Bretagne.

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